L’alimentation ? c’est compliqué !
Aujourd’hui nous allons nous intéresser à notre alimentation et plus précisément sur le régime alimentaire de l’être humain.
Devrions nous manger de la viande ? Boire du lait ? Manger que des végétaux ?
Ces questions reviennent fréquemment lorsque nous nous intéressons au régime alimentaire et c’est pourquoi nous essayerons d’apporter un élément de réponse dans cet article.
« La structure gouverne la fonction« . Ce principe fait partie de la philosophie ostéopathique et c’est pourquoi nous rechercherons notre régime alimentaire en regardant notre corps, la structure de notre système digestif.
Nous observerons nos principaux outils dans l’assimilation de nourriture que sont nos dents, notre mâchoire et notre système digestif.
L’Homme:
La mâchoire
Nous possédons à l’âge adulte 32 dents dont :
- incisives : 8
- canines : 4 (courtes)
- prémolaires : 8
- molaires : 12
Nos dents sont non tranchante outre les incisives et les canines dont la taille est relativement petite.
La mâchoire permet un mouvement d’ouverture haut/bas mais aussi gauche/droite appelé aussi « diduction » nous permettant de mastiquer notre nourriture.
Le système digestif:
La longueur du tube digestif (de la bouche à l’anus) est de plus de 10 m ce qui équivaut à 6 à 8 fois la taille humaine.
La salive permet non seulement d’humidifier la nourriture mais contient des enzymes(ptyaline) permettant de digérer l’amidon (70 % de l’amidon contenu dans un repas). Nous pouvons retrouver l’amidon dans les céréales comme le blé, le maïs mais aussi dans certains tubercules comme les pommes de terres, les graines, les racines et même dans des fruits comme la banane.
Dans l’estomac, l’acide chlorhydrique très acide associées aux enzymes de peptines et de présure permettent respectivement de dégrader les protéines et le lait. Il est important de souligner que l’enzyme contenue dans la salive est détruite en présence de l’acide chlorhydrique, ne supportant pas le pH trop acide.
Nous pouvons aussi noter que l’estomac a un rôle de réservoir. Chez les patients dont l’estomac a été enlevé, la digestion s’effectue mais oblige le patient à de petites prises alimentaires.
Le pancréas sécrète une enzyme identique à celle de la salive pour digérer le reste de l’amidon ainsi qu’un groupe d’enzymes permettant la dégradation des protéines et des lipides. Il permet l’augmentation du pH dans l’intestin via la sécrétion de bicarbonate de sodium.
Le foie quant à lui permet majoritairement l’absorption des graisses via la sécrétion de la bile et il est extrêmement performant. L’homme assimile 95% de la graisse qu’il ingère.
Les excrétions du foie et du pancréas se déversent dans le duodénum, la première partie de l’intestin. Celui-ci est le carrefour principal de la digestion chez l’homme de par sa surface d’absorption énorme (250m²) et de par la présence de multiples sucs digestifs.
Il est intéressant de noter que certaines substances n’ont pas besoin d’être décomposées et sont directement absorbées par l’intestin. C’est le cas de l’eau, du glucose, de l’alcool, des sels minéraux et des vitamines. Même entre les différents type de sucre (fructose, glucose, galactose) l’absorption peut être différente. Le fructose par exemple dispose d’une absorption facilitée ne nécessitant pas d’énergie. Le glucose et galactose(sucre présent dans le lait) dépendent d’un transport actif nécessitant de l’ATP donc de l’énergie et de sodium.
Ce que nous pouvons résumer:
La dentition est taillée pour le broyage et pour la mastication mais l’homme possède quelques dents destinées à couper.
Le système digestif est long et les différentes enzymes permettent de dégrader les glucides, protéines et les lipides. Il est cependant pour le système digestif facile de digérer l’eau, les sucres, les sels minéraux et vitamines (qui au passage sont les composants principaux d’un fruit) car il n’a pas besoin de les dégrader.
Les sucres fructoses, glucoses, galactoses sont les sources d’énergies dont nous sommes les plus aptes à tirer profits. Pour preuve notre cerveau en raffole et nous l’utilisons tout les jours et peut-être même un peu trop.
Nous pouvons cependant digérer les protéines et les lipides mais un risque de putréfaction est présent due à la longueur de notre tube digestif.
Étudions les autres régimes alimentaires:
Les carnivores
La mâchoire
Si nous prenons l’exemple d’un chat qui est un » vrai » carnivore :
Un chat adulte dispose de 30 dents:
- incisives : 12
- canines : 4
- prémolaires : 10
- molaires : 8
Sur le papier la dentition est plus fournie en dents aiguisées mais lorsque nous observons la mâchoire d’un félin nous remarquons que toutes les dents sont tranchantes et non plates même les molaires. La longueur des canines empêchent la mastication ; le mouvement de diduction c’est à dire gauche/droite est impossible chez beaucoup de carnivore.
Le système digestif
L’absence de ce mouvement de diduction n’est pas importante, non seulement la mâchoire serait plus fragile (plus facile à disloquer lors d’une forte pression) mais la mastication est inutile lors d’un régime carné. La salive étant exempt d’enzymes de dégradation (ni amidon ni protéique), la chair n’a besoin que d’être découpée en lambeau pour ensuite être digérée par l’acide chlorhydrique de l’estomac. Ici la production d’acide est 6 fois plus importante que chez un Homme.
Le tube digestif est par ailleurs beaucoup plus court, il représente environ 3 à 5 fois la taille de l’animal. Cela permettrait d’éviter la putréfaction dans les intestins. L’estomac quant à lui prend beaucoup plus de place permettant un stockage plus important (un lion peut avaler jusqu’à 40 kg de viande, si l’on rapporte à l’homme c’est comme si vous dégustiez 18 kg de viande). Autre exemple : chez le chien l’estomac représente 67% du poids total du tube digestif.
Au niveau de l’assimilation, celle ci repose sur des enzymes. La flore intestinale, permettant de digérer les végétaux et les sucres complexes, d’un carnivore est très pauvre et montre l’importance de l’estomac sur les intestins.
Les carnivores sont les plus aptes à utilisés les protéines comme source d’énergie. Ils peuvent faire des écarts comme manger un fruit ou un végétal mais cela leur demandera un effort plus important. (ex: la digestion de l’amidon ne pourra se faire que par excrétion de suc pancréatique, la digestion de sucre complexe se fait via la flore intestinale beaucoup moins présente dans l’intestin d’un carnivore).
Le carnivore est équipé pour faire face aux protéines, lipides et glucides mais il est largement optimisé pour les protéines.
Les herbivores
La mâchoire
Si nous prenons l’exemple de la vache:
la vache adulte a 32 dents:
- incisives : 8
- canines : 0
- prémolaires : 12
- molaires : 12
Les dents sont de mêmes hauteurs permettant la diduction. Les incisives permettent de couper l’herbe et les molaires et les prémolaires permettent de la broyer. La vache n’a pas de canine (deux exception parmi les herbivores : hippopotame et le cheval mâle qui tout deux disposent de canines. Ceux-ci étant des vestiges ou servent encore dans la défense et la lutte entre mâles).
Nous pouvons aussi remarquer la séparation entre les incisives et les molaires.
Le système digestif
La longueur du tube digestif est très importante et peut dépasser 20 à 30 fois la longueur de l’animal.
La salive contient tout comme la salive humaine des enzymes permettant de prédigérer l’amidon.
Parmi les herbivores, il y a les ruminants et les non ruminants. La vache fait partie des ruminants. Son estomac est composé de 4 poches et la digestion des végétaux se fait par fermentation dans la première partie de l’intestin. Chez le lapin, herbivore non ruminant,il n’y a qu’un seul estomac et la digestion se fait au niveau des intestins et du colon par fermentation également.
Les herbivores sont en réalité des cultivateurs de bactéries. La flore intestinale est très riche et permet la digestion de la cellulose, composé de base des végétaux. La cellulose est un sucre non absorbable par l’homme. Vous comprenez pourquoi la vache produit autant de méthane désormais.
L’herbivore est adapté pour digérer les végétaux. Sa dentition est faire pour couper et broyer les végétaux, sa mâchoire est faire pour mastiquer. Son système digestif long et surpeuplé en bactérie est fait pour absorber les végétaux dont le temps de digestion est très long.
Les omnivores
La mâchoire
Prenons l’exemple du plus connu des omnivores : l’ours.
La formule dentaire varie selon l’espèce mais l’ours peut avoir jusqu’à 42 dents:
- incisives : 12
- canines : 4
- prémolaires : 8
- molaires : 6
L’ours conserve de très puissante canines mais ces prémolaires et molaires sont moins tranchantes que celle des carnivores pures et semblent plus adaptées aux végétaux. Le forme globale de la mâchoire reste malgré tout très proche d’un carnassier.
Système digestif
Il est plus long que celui des carnivores mais inférieur à celui des herbivores. Il ne peut cependant pas assimiler la cellulose donc il evitera les plantes en contenant en grande quantité et se concentrera sur les baies, racines, fleurs.
Selon le Park de YellowStone et l’office economique de l’Alaska, le régime alimentaire de l’ours est végétal à 80-90 %. Il est opportuniste ce qui signifie qu’il mange les carcasses chassées par les loups ou autres prédateurs. Seul l’ours polaire vivant dans le pôle nord a un régime carné presque exclusif se nourrissant essentiellement de phoque (la végétation étant peu présente). Nous remarquerons que la dentition et le système digestif de l’ours polaire se rapprochent beaucoup plus des carnivores de par ses canines plus volumineuses, des dents plus taillées pour la découpe et un système digestif plus court.
Nous pouvons également prendre l’exemple du panda qui à l’inverse de l’ours polaire a un régime presque purement végétal. Ses molaires sont les plus larges de tous les ours et sont faites pour broyer. Autre fait interessant, c’est le seul ours à avoir développé un (faux) pouce opposable afin de mieux saisir ses aliments. Le panda reste incapable de digérer la cellulose hors, son alimentation principale, le bambou, en contient de forte quantité. Il tire très peu d’energie de ce régime et doit donc se nourrir très régulierement et en grande quantité. Nous pouvons nous poser la question pourquoi le panda continue t-il de manger tant de bambou? La réponse que j’ai pu trouver est qu’il est très mauvais chasseur et qu’il est dans une zone géographique où la végétation est abondante.
Les Frugivores
La mâchoire
Si nous prenons en exemple les singes anthropoïdes tels que le chimpanzé, le bonobo, le gorille, la formule dentaire est identique à la notre. Il existe cependant des différences. Par rapport à leur corps, leurs dents sont plus volumineuses notamment au niveau des molaires. Autre différence, chez l’humain les dents sont en rang serré alors que chez les singes il existe un intervalle entre les incisives et les canines et entre les canines et les prémolaires. Nous pouvons aussi être frappé par la taille des canines surtout chez le gorille.
Le système digestif
Très semblable à celui de l’être humain, il révèle quelques subtilités. Humain comme chimpanzé disposent d’une digestion facilitée des sucres débutant par la salive puis avec une absorption rapide par les intestins. Chez le chimpanzé le colon est plus développé et plus long alors que chez l’humain ce sont les intestins qui sont plus développés. Nous pouvons en déduire que le chimpanzé est plus apte à manger des végétaux feuillus grâce à sa flore bactérienne plus importante dans le colon.
Si nous observons le régime alimentaire des grands singes, il est composé essentiellement de fruits, de racines, de graines, feuillages mais aussi d’insectes et de viandes contrairement à certaines idées reçues. Ainsi ils peuvent manger un oeuf, un oiseau ou un petit mammifère s’ils en ont l’occasion. Cela reste très marginal, la faune ne représentant que 3% de leur régime alimentaire. (Nous pouvons donc les classer dans les omnivores).
Discussion
L’anatomie montre que l’homme n’est pas adapté à un régime carné pur, son système digestif est trop long et ses armes naturelles inexistantes. L’homme n’est pas plus herbivore, son tube digestif est trop court et sa flore bactérienne pas assez nombreuse pour absorber de manière efficace les nutriments. La capacité de l’homme à pouvoir manger à la fois de la viande et des végétaux en fait tout naturellement un omnivore.
Nous disposons d’armes biochimiques pour digérer à la fois le régime carné et le régime végétarien mais nous restons cependant optimisé pour l’absorption de sucre et de graisse qui se font plus facilement et avec moins d’effort.
Ces affinités peuvent être expliquées par la rareté de ces ressources dans le milieu naturel originel de l’homme.
- Graisse: nos capacités de chasse se limitent à notre endurance et à notre intelligence, nous ne disposons pas de griffes ni de crocs. La seule source de graisse que nous pouvons trouver est dans les carcasses laissées par d’autres prédateurs ou comme les chimpanzés dans les œufs, oiseaux et petits mammifères (avez vous essayez d’attraper un lièvre ?). Trouver de la graisse est ainsi très rare et l’absorption doit être optimale.
- Sucre: dans la nature nous le retrouvons en grande quantité dans les fruits. Aujourd’hui c’est une denrée présente en quantité astronomique dans notre régime alimentaire. Une pomme contient environ 15% de glucide, le pain en contient plus de 60 % pour la même portion. Les céréales du petit déjeuner contiennent 85 % de glucides.
Le régime frugivore nous permet de rassasier notre envie de sucre et notre capacité de préhension nous rend extrêmement efficace dans la cueillette de fruits.
Mon opinion personnelle est que nous sommes des omnivores avec un régime majoritairement frugivore avec des tendances opportuniste sur le régime carné(faunivores).
Ce régime frugivore à 80%, folivore(feuille) à 10% et faunivore à 10% reste cependant possible que dans certains lieux de la planète comme dans les forets tropicales. Tout comme les ours l’être humain a su s’adapter de manière exceptionnelle et heureusement. En Europe les fruits ne sont pas disponibles en grande quantité toute l’année, les anciens hommes ont surement cherché un moyen de trouver de l’energie autrement et ils l’ont trouvé dans les céréales et la faune locale. Un exemple de cette adaptation sont les Inuits qui vivent bien en mangeant un régime carné très important.
L’alimentation revient très souvent dans les discussions notamment avec l’augmentation constante de maladie chronique, des cancers et il est tout a fait légitime de se poser des questions. Que dois-je manger ? Quand ? Comment ?
Nous sommes adaptés pour manger des fruits et de la graisse car nous en avons besoin mais comme l’observait Paracelse : « Toutes les choses sont poison, et rien n’est sans poison ; seule la dose fait qu’une chose n’est pas un poison. ».
Maintenant si l’on observe l’alimentation moderne nous pouvons voir le problème. Notre nature nous fait désirer le sucre et la graisse et les entreprises alimentaires l’ont bien compris en rajoutant ces deux éléments dans tout leurs produits. Même les chips contiennent du sucre. Souvent l’appellation n’est pas sucre mais sirop de glucose, edulcorants, ou aspartame. Ce dernier possède un pouvoir sucrant 200 fois supérieur au glucose, votre cerveau ne peut qu’apprécier. Je pense que nous sommes dans une dose « poison » où le corps est paralysé devant cette abondance et devient complètement dépendant de cette drogue qu’est le sucre. Je n’exagère pas en parlant de drogue, des études avec images IRM montrent que les mêmes zones du cerveau s’activent lorsque vous consommez du sucre ou de la cocaïne.
En me renseignant sur les différents traitements via le changement du régime alimentaire (Seignalet, Gerson, Knap) les meilleurs effets sur le corps sont présents lorsque nous enlevons le gluten, les aliments transformés (pain,pizza,surgelé,pâte), en diminuant la viande et en ajoutant plus de fruits et végétaux.
Mon opinion personnelle reste donc sur une alimentation très riche en fruit/baies, légumes racines/bulbes, en végétaux mais aussi de la viande en quantité bien plus réduite (le repas traditionel du dimanche).
Nous devrions également écouter notre corps et manger selon notre faim et pas toujours selon nos envies. Si durant la pause déjeuner vous n’avez pas faim, ne vous forcez pas à manger quelques choses, ce serait comme remplir quelques choses qui est déjà plein et bien sur le corps devra fournir de l’énergie supplémentaire à la digestion. Notre culture et nos habitudes nous incitent à manger 3 fois par jour même lorsque nous sommes malades et que nous ne ressentons aucune faim. Si vous avez des animaux de compagnie et que par malheur l’un d’eux est malade vous remarquerez qu’il ne consommera pas de nourriture.
Nota Bene
En me renseignant sur les régimes frugivores, vegétalien j’ai pu trouver quelques informations notables:
La densité osseuse ne diffère pas entre une personne mangeant de la viande et un végétarien (http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/15258721)
Le pH urinaire est plus alcalin chez les végétalien que chez les végétariens et les personnes mangeant de la viande(http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/18721741)
- Steve Jobs, frugivore complet est décédé d’un cancer du pancréas.
- Ashton Kutscher révèle des troubles du pancréas après être passé au régime frugivore pour jouer le rôle de Steve Jobs
- Le professeur Seignalet dont le régime a aider beaucoup de malade est décédé d’un cancer du pancréas.
Je vous donne ces trois exemples pour vous montrer que l’alimentation n’est pas responsable de tout et que même si elle compte beaucoup dans l’équation parfois cela ne suffit pas. Il reste important de toujours écouter son corps et de pouvoir être critique même sur ces idéaux. Les extrêmes sont rarement bon et si manger un type de régime alimentaire vous rend fatigué ou malade c’est peut être qu’il n’est pas adapté pour vous.
Ne vous imposez pas de barrière, le monde en est suffisamment rempli. Essayez différentes manières de manger et différents régimes. Prenez celui avec lequel vous vous sentez le mieux, le plus en forme. Mais pour savoir lequel vous va le mieux, il faut essayer par vous même et pas toujours se réferrer à des écrits ou des on-dit.
Mon expérience personnelle a été faite sur deux semaines. J’avais choisi un régime frugivore pur avec quelques œufs. Très gourmand, finissant toujours les plats je pensais ne pas être rassasié par quelques pommes. Erreur ! 2 pommes et 2 poires ont eu raison de moi au premier repas. Pas de cuisine, pas de consommation d’énergie, pas de vaisselle, ce mode d’alimentation est très économique et non chronophage. Mon activité sportive ne changea guère au cours de ces deux semaines. Je remarquais même des amélioration d’endurance et de motivation. Ma digestion se faisait sans aucun soucis et je n’éprouvais point de fatigue ou coup de barre. Mon retour à une alimentation plus moderne (céréales, végétaux) est arrivé par une envie de cuisiner qui commençait à me manquer et une envie très forte de pain et autres sucres(addiction ?).
Manger en appréciant l’aliment, en le savourant, en sachant qu’il vous fera du bien et ainsi il deviendra votre médicament.
Finalement c’est simple !
Cet article ne remplace en aucun cas une consultation médicale.
Il est difficile de trouver de la graisse… Dans les insectes il y en a. Justement notre intelligence et notre faculté à transpirer nous permet de chasser les proie en groupe organisé sans trop se fatiguer.
Oui, je suis tout à fait d’accord avec vous. De plus manger de la viande et de la graisse remplis mieux l’estomac ce qui nous a surement permis de faire d’autres activités que nous nourrir(voir l’exemple du panda). Là ou je voulais en venir c’est que la cueillette est plus facile d’accès que de tuer un lapin, ou un cerf.
Je suis stupéfaite par de telles propos ! La bouffe d’aujourd’hui est responsable de toutes les maladies ! Avant d’être frugivore, Steve Jobs bouffait comment ?
Irène Grosjean, ça vous parle ? Elle a 88 ans !! Comment se nourrit-elle ?
Sérieux ? Vous avez fait des études pour votre récit ?
Bonjour,
Pardon mais je n’ai pas bien saisi ce que vous me reprochez ni votre position.
Je n’ai pas lu ou suivi madame Grosjean donc je ne peux me prononcer sur ses idées. En revanche, je ne suis pas d’accord avec vous sur le fait que les maladies sont dues uniquement à l’alimentation. Selon moi, la santé fait suite à un ensemble de facteurs dont l’alimentation fait partie mais pas que. Il y a aussi le bien être mental/physique ou même le cercle social qui sont tout aussi important.